Mort-des-mois

*+-_ Mordez moi ! _-+*

Lundi 28 juillet 2008 à 18:06

"Je vous ai aimée dès l'instant où je vous ai vue. Puis-je espérer  ?"

Il la regarda et fut frappé de l'expression grave et passionnée de son visage. Son visage semblé dire : "Pourquoi le demander ? Pourquoi douter de ce qu'il est impossible de ne pas savoir ? Pourquoi parler quand on ne peut exprimer par des mots ce qu'on ressent ?"

Elle se raprocha de lui et s'arrêta. Il lui prit la main et la baisa.

"Maimez-vous ?"

[ ... ]

Le prince Adrés tenait ses mains dans les sinnes, la regardait dans les yeux et ne retrouvait plus dans son coeur le même amour pour elle. Une sorte de revirement s'était produit en lui : l'ancien attrait poétique et mystérieux du désir avait disparu, il ne restait plus que de la pitié pour sa faiblesse de femme et d'enfant, de l'effroi devant son abandon et sa confiance, une conscience poignante et à la fois pleine de joie du devoir qui le liait à jamais à elle. Ce sentiment nouveau, sans être poétique et lumineux, n'en était que plus sérieux et plus fort.

Guerre et paix

Léon Tolstoï

Volume 1, Livre Deuxième, Troisième Partie, Chapitre XXIII

Lundi 28 juillet 2008 à 14:09

Le passé ne s'oulie donc pas ? Jamais ? On peut l'enfouir aussi  profond que possible, il ne fait pas moins parti de nous. La passé fait partie du présent. Oh biensur il y a certaines choses que l'on peut occulter pendant des mois, desannées, jusqu'à en oublier l'existence de certaines personnes, de certains faits. Mais un mot, un regard, une chançon, un lieu ... Il suffit de bien peu de choses pour faire remonter à la surface tout en tourbillon de sentiments. Et la tête secouée par ce brouaha de pensées on se rend compte qu'on ne peut rien oublier. Lemeilleur comme le pire. Ces jours, ces nuits, ces sentiments, ces paroles, ces actes, ces événement, ces personnes, qui le soir dans le pénombre, au creu de notre lit, nous tourmentent et nous pourchassent. Et là, obnubilé par un souvenir si heureux ou si malheureux qu'on ne peut s'en défaire, le sommeil nous est alors impossible à trouver.   

De toute évidence notre passé et à nous, rien qu'à nous, il nous suivra tout au long de notre vie et on peut dire que ça ne va pas aller en s'arrangeant ...

En même temps sans passé que serions-nous ?

Dimanche 13 juillet 2008 à 12:00

P A R I S, 12 juillet 2008

Place de la République

Mardi 8 juillet 2008 à 12:37

Un an et un jour !

Joyeux aniversaire mon blog !

Et bien on peut dire qu'il s'en est passé des choses en un an !

Bye bye le collège, une année de seconde dans un lycée génial et en septembre bonjour la première litéraire. Enfin voilà un an de vacances et de cours. Un an de hauts et de bas. Mais s'il vous plait ne retenons que le meilleurs. Oh biensur moi aussi je garde certaines rencoeurs. Quelques mots bien trop indigestes me restent en travers de la gorge. Certain actes très décevants également. Il y a bien eu aussi quelques révélations car il faut bien que le passé revienne parfois à la charge. Et on peut dire que les fantômes du passé seront à mes trousse cette année encore. Enfin il y a biensur tous les bon moments grace à eux. Eux ce sont toutes les personnes de l'année dernière enfin plutôt celle d'encore avant. Et aussi tous les autres, les ptits nouveaux. Un amour de perdu, aucun de retrouver. Epanouissement personnel dans cette nouvelle situation, même si biensur il suffirait d'un rien pour que tout bascule. Ce n'est pas encore l'été pourtant j'ai déjà des coups de soleil et le sourir. Alexane et Clémence compte toujours plus que tout. Ce soir papy est passé sur france inter. Je l'aime, j'ai ma famille, enfin certains plus que d'autres quand même, mais bon. Et biensur n'oublions pas l'actualité et cette putain de réforme qui a déchainé étudiants et lycéens. Les mots contre les lacrymos. On se souviens bien tous du blocage. Celui d'Allende notament, la banderolle volée, les casier devants les portes, les baricades, le trotoire cramé. Et aussi cet après-bien au rectora, mémorable, je n'avais encore jamais vu autant de violence à Caen. Et j'ai le sentiment que nous n'avons pas finit de gueler et de nous faire casser la guele. Enfio bref l'année qui s'anonce sera surment différente de la précédente, tout comme celle-ci l'a été de celle d'avant. Tant mieux le changement ... change. Et si je ne sais pas vraiment si je l'aime je sais à quel point il est nécessaire.

Le mot de la fin est pour moi même : je m'aime !

Dimanche 6 juillet 2008 à 13:34

L'être humain est vraiment pathétique.

Je t'aime n'existe plus.

Certain l'ont oublié ... ^^

Il Je Elle Toi Lui Moi Tu = Toujours aucun "Nous" en perspective

Anyone else but you ...

[ J'ai bien compris.

Ca ne peut pas marcher à tous les coups.

Et cette fois n'était pas encore la bonne. ]

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast